Le 1er octobre, nous entrons en action pour dire STOP à la dégradation de nos conditions de travail et à la marchandisation de l’accueil des jeunes enfants. Sous le thème Petite enfance à l’agonie : le banquet des ogres doit cesser !, nous lançons un appel à la mobilisation nationale.
Les professionnels de la petite enfance sont sacrifié·e·s sur l’autel des profits, et nous devons faire entendre notre voix. C’est l’avenir de nos métiers, la dignité de nos pratiques et la qualité de l’accueil qui sont en jeu. Le temps des demi-mesures est révolu.
Modalités de mobilisation que nous vous suggérons : – Fermetures symboliques des crèches (d’une heure à une journée complète). – Occupations devant les crèches, avec distribution de tracts pour sensibiliser les familles. – Dépôt de lits vides devant les mairies et préfectures, symbolisant l’abandon de l’État. – Défilé de poussettes vides dans les rues pour marquer l’urgence de la situation.
Nos revendications sont claires : 300 euros nets par mois en plus pour chaque professionnel·le, une formation de qualité, l’arrêt de la rationalisation des fonds publics par la Prestation de Service Unique (PSU), et la fin des sous-effectifs chroniques.
Nous vous encourageons aussi à faire des parents nos alliés dans ce combat pour un accueil digne. Ensemble, faisons entendre nos voix !
Retrouvez toutes les informations pratiques dans le tract joint et sur notre site.
Nous comptons sur vous pour participer massivement et faire du 1er octobre une date historique.
Vous le constatez chaque jour sur le terrain, notre secteur traverse une crise profonde. Malgré notre dévouement et nos efforts constants, les conditions de travail ne cessent de se dégrader tandis que la qualité d’accueil peine à être préservée.
Face à cette situation alarmante, il est plus que temps de faire entendre notre voix haut et fort auprès des futurs députés qui seront élus en juin 2024. C’est l’avenir de notre profession et celui de milliers d’enfants qui est en jeu !
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance vient de lancer un appel solennel aux candidates et candidats en leur adressant un courrier détaillant une série de revendications essentielles.
Parmi les principales mesures réclamées, nous retrouvons :
Une revalorisation salariale conséquente d’au moins 300 euros nets par mois
L’amélioration de nos conditions de travail et de l’encadrement
La mise en place de financements cohérents pour recruter davantage de personnel qualifié
Le renforcement des formations initiales et continues
La sauvegarde des modes d’accueil de qualité comme les crèches familiales
Il est impératif que ces propositions trouvent un écho concret dans les programmes des candidats pour mettre fin aux années d’immobilisme et de coups de rabots successifs.
C’est pourquoi nous vous appelons à vous mobiliser massivement auprès des candidats dans vos circonscriptions respectives. Relayez ce courrier, interpellez-les lors des réunions publiques, faites entendre votre voix sur les réseaux sociaux… Rappelons que nous sommes des milliers à attendre des actes forts et un réel engagement en faveur de la petite enfance !
N’ayons pas peur de dénoncer la situation actuelle. Nos revendications sont justes et légitimes. Ensemble, uni·es, nous pouvons peser pour faire évoluer durablement notre secteur trop longtemps délaissé.
La petite enfance, c’est l’avenir de notre société. À nous de défendre cette noble cause essentielle auprès des futurs législateurs pour le bien-être des enfants et des professionnelles !
Vous le constatez chaque jour sur le terrain, notre secteur traverse une crise profonde. Malgré notre dévouement et nos efforts constants, les conditions de travail ne cessent de se dégrader tandis que la qualité d’accueil peine à être préservée.
Face à cette situation alarmante, il est plus que temps de faire entendre notre voix haut et fort auprès des futurs députés qui seront élus en juin 2024. C’est l’avenir de notre profession et celui de milliers d’enfants qui est en jeu !
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance vient de lancer un appel solennel aux candidates et candidats en leur adressant un courrier détaillant une série de revendications essentielles.
Dans le cadre du projet de recherche SEMPE (SEns des Métiers dans la Petite Enfance), le SNPPE soutient le lancement d’une 𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 qui s’adresse aux 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹.𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝗲 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝗰𝗲.
Portée par l’équipe PSyCOS du Laboratoire ETHICS EA7446 et de la Faculté des Lettres & Sciences Humaines – Université Catholique de Lille et soutenue par la Cnaf – Caisse nationale des allocations familiales, cette recherche se penche sur les difficultés de recrutement, d’attractivité et de fidélisation que rencontre actuellement le secteur de la petite enfance.
Dans ce contexte, elle vise notamment à interroger les conditions de travail des professionnel·le·s de la petite enfance, ainsi que les ressentis des professionnel·le·s concernant le 𝘀𝗲𝗻𝘀 𝗮𝗰𝘁𝘂𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀.
🗳 EJE, Auxiliaire de puériculture, CAP petite Enfance ou Accompagnant Éducatif Petite Enfance, Infirmière puéricultrice.., pour faire entendre votre voix, c’est ici 👇
Le SNPPE publie sur son site les réponses qu’il a transmis à la commission d’enquête parlementaire sur le modèle économique des crèches et sur la qualité d’accueil des jeunes enfants.
Il paraît essentiel, comme l’audition a été publique, que l’écrit soit aussi public. Par contre, le SNPPE ne publiera pas les témoignages, même de manière anonyme, qu’il a transmis à la commission d’enquête afin de préserver les professionnel·les de toute sanction de leur employeur.
Le SNPPE lance un nouveau baromètre des salaires. Les professionnel·les sont invité·es à y répondre et à le partager largement auprès des collègues. Le nombre de réponses (le plus précises possibles) sera le gage d’un baromètre représentatif. A vous de jouer !
Véronique Escames, Lucie Robert, et Cyrille Godfroy expriment leur gratitude envers les professionnel·le·s qui ont partagé leurs témoignages. Vos emails ont été essentiels pour élaborer nos réponses. Après une audition d’une heure (qui nous a permis de canaliser notre frustration ), nous entamons la dernière étape : finaliser les réponses aux 37 questions reçues. Nous tenons à souligner que les témoignages de terrain sont vivement encouragés par la commission. Le courriel temoignage@snppe.fr est toujours actif et vos contributions seront anonymisées par défaut avant d’être transmises à la commission, à moins d’indication contraire de votre part. Nous avons jusqu’au 8 avril 2024 pour soumettre nos réponses écrites, alors nous comptons sur la réactivité de ceux qui souhaitent partager leurs témoignages. Les réponses finalisées par le SNPPE seront publiées sur le site internet.