Le SNPPE, qui a réalisé avant les élections législatives un état des lieux, le confirme. « Dans les réponses qu’on a reçues, on a des structures qui ont diminué leur amplitude horaire, d’autres qui ont fermé des sections pour pouvoir continuer d’accueillir les enfants en toute sécurité… Partout, il y a beaucoup d’heures supplémentaires effectuées par les professionnels en poste, afin de pallier au mieux les absences », détaille Véronique Escames, co-secrétaire générale du SNPPE.

Source : Pénurie de professionnels, épuisement, risque de maltraitance : le secteur de la petite enfance à bout de souffle