« Certains gestionnaires privés lucratifs entretiennent des taux d’encadrement réduits pour gagner sur la masse salariale, confirme Cyrille Godfroy, cosecrétaire général du Syndicat national des professionnels de la petite enfance (SNPPE). Il faut ajouter à cela les difficultés du COVID, le manque de reconnaissance du secteur, la pénurie de personnel, les bas salaire, la réforme d’Adrien Taquet qui a fait baisser le taux d’encadrement… »

Source : «C’est l’Orpea des tout-petits»: des micro-crèches mises en cause par des familles – Le Parisien