Dans cette situation de crise sanitaire et politique sans précédent, le SNPPE demande que le gouvernement replace dans leurs rôles respectifs les interlocuteurs de Santé légitimes tant des professionnel·le·s de la Petite Enfance que du public si particulier qu’elles et ils accueillent. Les médecins du travail et ceux de PMI sont en effet au centre de la démarche de sécurité, de protection et de respect des cadres réglementaires intervenant dans les différents types d’accueil.
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance prend acte et est plutôt en accord avec cette obligation vaccinale . « On ne peut être contre une mesure qui tend à protéger les professionnels explique-t- il. Tout en reconnaissant que sa mise en œuvre ne sera ni simple, ni facile ! Mais il y voit aussi l’occasion pour les professionnels de pouvoir enlever le masque ce qui sera un vrai soulagement par rapport aux enfants.
Le SNPPE a pris connaissance dans la presse économique des projets de vente de plusieurs groupes de crèches privées : Liveli, Grandir, La Maison Bleue.
Alors que le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles se déplaçait cette semaine auprès de la Fédération Française des Entreprises de Crèches lors de son Assemblée Générale, signe fort du grand soutien du gouvernement pour le secteur privé lucratif, deux groupes de cette fédération sont en vente. Après une autre enseigne déjà vendue l’année dernière au sein de cette fédération, le SNPPE constate une accélération de ces opérations financières.
Le SNPPE alerte les familles et les professionnel·les sur les dangers de la marchandisation du secteur de la petite enfance. Le risque de casse sociale n’est pas négligeable.
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance (SNPPE) a un 1 an ! L’occasion pour lui de mettre en avant les membres du bureau national via des vidéos postées chaque jour sur les réseaux sociaux sur lesquelles ils évoquent leurs valeurs professionnelles et celles du syndicat et pour nous de revenir avec ses deux co-secrétaires généraux, Lucie Robert et Cyrille Godfroy, sur la genèse de sa création, sur la réforme des modes d’accueil et de faire un premier bilan.
Côte à côte au sein du collectif « Pas de bébés à la consigne » qui réunit une cinquantaine d’organisations syndicales ou professionnelles, la CGT, la CFDT et FO, mais aussi la FNEJE Paca et le tout jeune Syndicat national des professionnels de la petite enfance (SNPPE) multiplient les actions depuis novembre 2020. Leur but est de s’opposer à la réforme en cours qui modifie en profondeur les conditions d’accueil et de prise en charge des enfants de 0 à 3 ans ; réforme adoptée le 19 mai dernier, par voie d’ordonnances, et dont ils tentent désormais de freiner la sortie des décrets d’application. Avec des mots très durs pour qualifier la gestion de ce dossier par le gouvernement, évoquant « une maltraitance institutionnelle », une « douce vio
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