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Le secteur de la petite enfance en France est en pleine crise. Avec la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre, les professionnel·le·s de la petite enfance redoutent que les décisions qui ont conduit à cette situation dramatique ne soient reconduites, voire amplifiées. Pendant des années, les professionnel·le·s ont été sacrifié·e·s, non seulement par les dérives du secteur privé, mais aussi par des politiques publiques qui ont favorisé les économies budgétaires au détriment de la qualité de l’accueil des enfants.

Depuis l’instauration de la Prestation de Service Unique (PSU) en 2014 par la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF), jusqu’à l’utilisation sans mesure des Délégations de Service Public (DSP), le secteur de la petite enfance a été peu à peu livré à des logiques de rentabilité et d’économies de fonctionnement. Ces « ogres » ne sont pas seulement des acteurs privés avides de profit, mais aussi des politiques publiques qui ont progressivement affaibli les moyens alloués à l’accueil des enfants.

M. Barnier, vous êtes désormais face à une responsabilité majeure. Continuerez-vous à privilégier les économies budgétaires, ou agirez-vous pour rétablir une politique centrée sur le bien-être des enfants et la dignité des professionnel·le·s ?

Les constats sont accablants :

  • Dégradation des conditions d’accueil : Groupes surchargés, taux d’encadrement insuffisant, et structures inadaptées.
  • Formations inadéquates : Des diplômes insuffisants, souvent déconnectés des réalités du terrain.
  • Gouvernance défaillante : Une gestion focalisée sur la réduction des coûts plutôt que sur la qualité, conduisant parfois à des situations de maltraitance institutionnelle.

Malgré les multiples rapports – comme ceux de l’IGAS ou de la Commission d’enquête parlementaire – les gouvernements successifs ont ignoré ces alertes. M. Barnier, vous ne pouvez plus ignorer l’impact destructeur de ces politiques sur la petite enfance. Les professionnel·le·s, épuisé·e·s et souvent précarisé·e·s, exigent des mesures concrètes et immédiates pour inverser cette tendance.

Nos revendications sont claires et urgentes :

  • Revalorisation salariale immédiate : 300€ nets par mois pour toutes et tous, sans condition ni délai, pour compenser l’inflation et reconnaître l’importance de leur travail.
  • Augmentation des effectifs et des formations adaptées : Pour garantir un encadrement compétent et réduire le turnover.
  • Rejet de la standardisation des formations : Préserver les diplômes spécifiques, adaptés aux réalités du secteur.
  • Financement équitable et simplification des démarches administratives : Permettre aux directions de se concentrer sur la qualité de l’accueil, sans être submergées par la gestion administrative.

M. le Premier ministre, les professionnel·le·s de la petite enfance refusent de continuer à être les « pros sacrifié·e·s ». Les politiques d’austérité et les décisions économiques qui ont favorisé les « ogres » de la privatisation et de la réduction des coûts ont dévasté les valeurs fondamentales de notre secteur. Ces « ogres », qu’ils soient privés ou publics, doivent cesser de sacrifier la petite enfance sur l’autel de la rentabilité.

Une mobilisation nationale est en préparation, et la date sera confirmée prochainement.
M. Barnier, aurez-vous le courage de rompre avec ces politiques destructrices ou continuerez-vous à laisser le secteur s’enfoncer dans la crise ?

La France ne peut plus fermer les yeux sur cette situation. Le moment est venu d’agir pour protéger nos enfants et redonner aux professionnel·le·s la dignité et la reconnaissance qu’ils méritent.