
Marie-Celine Gosselin, représentante du syndicat national des professionnels de la petite enfance à l’origine du collectif « Pas de bébé à la consigne » détaille les revendications : « avant, il fallait 7 m² par enfant, nous sommes passés à 5,5 m². Ça veut dire moins d’espace, moins de professionnels pour plus d’enfants et à salaire égale. De plus, depuis le 31 août, les crèches peuvent embaucher des personnes sans diplôme ni formation. Il va falloir les former sur le terrain, au détriment des enfants. Nous luttons également contre la dévalorisation du métier. »
Source : À Rouen, professionnels de la petite enfance et élus communistes manifestent en parallèle – Paris-Normandie