Véronique Escames a connu ce système lorsqu’elle travaillait dans une crèche municipale de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines). «On était contentes parce que ça fait du monde en plus, généralement les remplaçantes sont motivées et ça apporte un regard extérieur sur notre structure, ça nous fait avancer, déroule la cosecrétaire générale du Syndicat national des professionnel·le·s de la petite enfance. Après, quand elles viennent une semaine, elles ne connaissent pas les enfants, les enfants ne les connaissent pas, donc ça pose des difficultés avec les plus jeunes.


Source : Manque de personnel dans les crèches: les pôles de remplacement, «une évolution positive» pour un secteur en tension – Libération